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Les Salauds Gentilshommes : la République des Volerus de Scott Lynch

     Et on continue avec cette saga extraordinaire qu’est : Les Salauds Gentilshommes.

Quatrième de couverture

     Après le plus grand casse de leur carrière, Locke et son inséparable complice, Jean, ont réussi à s’échapper. Mais Locke ne s’en est pas tiré indemne : empoisonné, il est mourant. Aucun alchimiste n’est en mesure de l’aider. Alors que le moment fatidique approche, une mystérieuse Mage Esclave lui propose un marché qui le sauvera ou mettra un terme à ses souffrances. Locke hésite, jusqu’à ce que la mage mentionne le nom d’une femme qu’il a connue par le passé. L’amour de sa vie. Sa rivale en matière d’habileté et d’intelligence. Et, s’il accepte cette mission, son plus dangereux adversaire.
     À l’approche des élections de la cité des mages, les différentes factions recrutent leurs stratèges. Locke doit faire un choix : affronter ou séduire celle qu’il n’a jamais pu oublier. Leurs vies dépendent peut-être de sa décision…

Avis livresque

     Ce tome 3, la République des Voleurs, est peut-être le moins palpitant de ce début saga. (Scott Lynch m’a déjà trop habitué aux retournements de situation dans ces deux premiers tomes !) Néanmoins, même avec une arnaque plus simpliste, La République des Voleurs n’en reste pas moins incroyablement bon et savoureux. Ici, Jean s’efface un peu (malheureusement), pour mettre en lumière un autre membre des Salauds Gentilshommes : la mystérieuse Sabetha. Enfin on découvre qui est l’amour perdu de Locke, et l’attente en vaut la chandelle. Ce personnage féminin est absolument divin. J’ai adoré découvrir ce nouveau personnage et sa relation avec Locke et Jean, complexe, touchante et d’un réalisme surprenant.

     Les Salauds Gentilshommes, c’est clairement une des meilleures saga de fantasy adulte. Tout est extrêmement bien travaillé. L’univers, la profondeur des personnages, le rythme, les dialogues et l’humour… mon dieu, l’humour, c’est probablement ce que je préfère : des vannes qui me font exploser de rire. A ceux qui n’ont pas encore succombé à cette saga, qu’attendez vous ?

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