Le Prince Cruel d’Holly Black

      Comme vous l’avez peut-être vu en story semaine dernière, j’ai tenté de lire Le Prince Cruel d’Holly Black… abandonné au bout de la 360ème pages.

     Sorry not sorry, et parce que je suis de très mauvais de poils aujourd’hui, je dégaine ma mitraillette dans la suite du post. Attention, ça va gicler.

     Alors, je sais que c’est du Young Adult. Je sais qu’il y a des codes, mais je n’ai vraiment, mais vraiment pas accroché. J’ai trouvé l’univers très pauvre, banal et mal décrit. Les personnages n’ont rien arrangé. Jude, la protagoniste principal, me sortait par les trous de nez. Ses réactions étaient incompréhensibles, irréalistes. Aucun personnage autour d’elle ne relevait le niveau. La seule, qui était plus ou moins cohérente, c’était Vivi. Certains passages de l’intrigue, qui n’était déjà pas mirobolante, m’ont paru du coup absolument ridicules. Attention, je vais spoiler un peu dans la suite pour étayer mes propos (je vous aurais prévenu). Déjà, vivre avec le meurtrier de ses parents comme si de rien était, c’était déjà très gros niveau cohérence. Mais passons. On va dire que la meuf n’est pas rancunière. Mais vouloir absolument s’intégrer dans un monde où elle est rejetée par tout le monde, faut être sacrément maso. J’ai aussi pas trop digéré le coup de la meuf qui devient espionne du jour au lendemain, mais on va dire que c’était pour le scénario. Le pompon, c’était quand même le coup de son premier meurtre. La gonz’ tue le gars, le cache sous son lit, va ensuite faire son petit travail d’espionne tranquillou minou minou, tue une autre personne, puis revient, et se débarrasse du corps ni vu ni connu en l’enterrant dans le jardin. Pas une once d’émotion. La meuf a fait ça toute sa vie, on dirait. Bref. J’ai abandonné lorsqu’elle sauve son pire ennemi trois pages plus loin, dont je suis persuadée qu’elle tombera follement amoureuse à la fin de l’histoire.

    Bref. J’ai pas aimé.

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