Je ne vous avais pas encore parlé du Trône des Sept Îles d’Adalyn Grace.
Quatrième de couverture
Dans un royaume troublé par les secrets et la trahison et où le danger rôde sous la mer, une princesse va devoir se battre pour revendiquer son trône avant que tout ne soit perdu…
C’est le grand jour pour la princesse Amora. Fille unique de la famille Montara qui dirige le royaume de Visidia, elle va devoir assoir sa position d’héritière du trône en effectuant une démonstration de sa magie devant son peuple. Mais quand le rite de passage tourne au désastre, la jeune femme est forcée de fuir.
Elle va alors faire la rencontre de Bastian, un mystérieux pirate avec lequel elle va passer un marché. Ensemble, ils vont parcourir les mers du royaume, pleines de merveilles et de dangers avec pour objectif de stopper l’émergence d’une nouvelle magie destructrice. Pour la vaincre, Amora devra affronter des monstres légendaires, croiser le chemin d’une sirène redoutable et même gérer un passager inattendu… Si elle échoue, elle mettra en péril le destin de Visidia et perdra la couronne des sept îles à tout jamais.
Avis livresque
Et bien, en vérité, il n’y a pas grand chose à dire. Cette lecture ne cassait pas trois pattes à un canard. Ca se lit tout seul, je ne dis pas, mais côté originalité, on repassera. Comme pour Du sang, d’écume et de glace, on est sur du Young Adult dans un univers maritime, avec une intrigue vue et revue prévisible à des kilomètres et des kilomètres, le même genre de personnages clichés de la YA, et une romance ridiculement banale. Sauf que contrairement au roman d’Alexiane de Lys, le Trône des Sept Iles ne possède ni de personnages attachants, ni un univers détaillé (et en plus, il n’y pas de crêpes bretonnes). Du coup, la lecture laisse de marbre. Je sais, je suis sévère, mais c’est mon ressenti. Il se lit bien, mais ne transporte pas. Dommage, parce que l’univers comportait quand même un concept intéressant avec sa magie des os, mais c’était la seule chose vraiment originale du bouquin. (Rolala, je suis vraiment sévère).
Bref, pas une déception. Juste un désintérêt.