Salut à tous, j’espère que vous allez bien. Aujourd’hui, je voulais vous parler d’une de mes récentes lectures : Le Page de l’Aurore d’Astrid Stérin.
Astrid Stérin, c’est la jeune femme qui se cache derrière l’excellent blog de conseils d’écriture l’Astre et de la Plume. Écrivains en herbe et confirmés, je vous invite à y faire un tour si comme moi vous êtes avides de bons conseils pour perfectionner votre écriture. Comme j’aime beaucoup ce blog, j’étais curieuse de découvrir le premier roman d’Astrid publié aux éditions du Sylphe Rouge.
Résumé : Le petit chevalier Cœur de Lorelonne rejoint la cour du Roi d’Or et entre au service de sa majesté en tant que Page de l’Aurore. Cœur découvre la fastueuse vie de Cour aux côtés de son ami Doron et s’émerveille devant la Cérémonie du Jour où chaque jour Maitre Lierre, muni de ses douze doigts, façonne la sculpture du roi. Un jour, le Royaume d’Or entre en guerre contre son voisin Torraure. Dirigée par la Sorcière de Fer, la reine de Torraure lance un maléfice sur l’armée d’Or qui doit battre en retraite. Cœur devient malgré lui le seul espoir de victoire.
L’inspiration de la Renaissance et des romans de chevalerie est omniprésente. La Cour du Roi d’Or n’est pas sans rappeler Versailles et ses règles de bienséance, avec une once de magie et un brin de mysticisme. Le tout rend l’univers original. On découvre ce monde à travers les yeux de Cœur, enfant naïf qui apprendra au fil de ses aventures que tout n’est pas blanc ou noir. La tolérance est aussi un grand thème de l’histoire, portée par le personnage de Coeur qui malgré son jeune âge est sans doute le plus sensé de tous. Cette bienveillance fait du bien comme une lueur d’espoir dans un monde écrasé par les préjugés.
Si vous voulez un peu de douceur, je vous conseille Le Page de l’Aurore que vous soyez amateurs de fantasy ou non, jeune ou vieux. La plume est belle et sans prétention. Le texte fluide, les descriptions imagées, une intrigue sans prise de tête. En somme, une agréable lecture à découvrir.
Et vous, vous l’avez lu ?


